5 Évidences de la Crise Covid

5 évidences que la crise nous a enseignées

Depuis maintenant une année et demie que nous vivons cette crise sanitaire, quelques constats s’imposent. 

Il serait bon que ce soit eux qui guident notre politique de santé publique… et non la peur.

Les voici exposés rapidement, j’y reviens plus en détail juste en dessous. 

  1. D’abord, c’est un fait, la grande majorité des personnes en réanimation ont des facteurs de risque connus : la diabète, l’hypertension, le surpoids, le grand âge. Ce sont eux qui constituent l’essentiel des victimes graves de la Covid. Ce constat devrait nous permettre de mieux cibler l’obligation vaccinale.
  2. Nous le savons maintenant, le vaccin évite les formes graves, mais il n’empêche pas d’être contaminant. Inutile donc d’en faire une panacée face à une immunité naturelle acquise… souvent efficace !
  3. Les jeunes, qui ont fait couler beaucoup d’encre depuis le début de cette crise, font des formes bénignes de Covid. Cela semble acquis, inutile de les forcer à se vacciner,ils contribuent ainsi à l’immunité collective.
  4. Les vaccins ont beau sembler efficaces à ce stade, nous n’avons pas encore assez de recul à leur sujet (notamment en ce qui concerne les effets secondaires à moyen et long terme).
  5. Enfin, une immunité renforcée reste, j’en suis persuadé, notre meilleure défense contre les virus.

Vaccinons d’abord les personnes à risques

Les personnes à risques (grand âge, diabète, hypertension, obésité, insuffisance cardiaque ou respiratoire) constituent le réservoir des services de réanimation. De nombreuses études le montrent1 2.

Il semble évident que l’incitation vaccinale aurait dû s’adresser à ces populations en priorité pour les protéger… et non aux personnes saines et ne présentant pas de risque… 

Il semble évident que l’incitation vaccinale aurait dû s’adresser à ces populations en priorité pour les protéger… et non aux personnes saines et ne présentant pas de risques ! 

Laissons les jeunes tranquilles !

L’immunité des jeunes en bonne santé est meilleure que celle de nos aînés et des Français qui ont des comorbidités marquées. 

La preuve en est que les jeunes feraient des réactions vaccinales plus fortes que les personnes très âgées (notamment après la 2ème dose). Or, je vous en parlais dans un message précédent,

lorsque votre organisme réagit fortement au vaccin, cela signifie que votre immunité est bonne.

Puisque l’immunité des jeunes est solide, inutile de les forcer à se faire vacciner. Privilégions plutôt leur immunité naturelle en les laissant se faire infecter par la Covid. 

On pourra, à la rigueur, renforcer davantage leur immunité en proposant une vaccination à dose unique, 6 mois après leur infection. 

J’en suis convaincu (et certaines ARS le confirment)3, c’est par les jeunes que passera l’instauration d’une immunité collective efficace. 

Nous connaissons encore trop mal les vaccins

Les scientifiques le disent : la population mondiale fait actuellement les frais d’une expérimentation à grande échelle. 

Le recul nécessaire à la connaissance des effets secondaires de ces nouvelles thérapeutiques à moyen et long terme ne permet pas d’affirmer avec certitude leur innocuité.

Le « bénéfice-risque », argument souvent avancé par les tenants de la vaccination pour tous, reste, selon moi, incertain pour une population à faible risque de développer une forme grave de cette maladie.

Quant à la vaccination des enfants, qui font des formes atténuées de la maladie, elle est remise en cause par les communautés pédiatriques.

Ce qui est sûr en revanche, c’est que la seconde dose des vaccins ARN est parfois mal supportée et développe dans un certain nombre de cas des effets secondaires importants notamment cardiovasculaires (myocardites, péricardites, hypertension, troubles du rythme). 

Faut-il revoir la posologie (des vaccins moins dosés) ou l’espacement entre deux doses ? 

L’avenir nous le dira, au dépend de ceux qui en ont subi les conséquences.

Comme toujours, pourvu que cela ne tombe pas sur nous !

Renforçons notre immunité

Je termine ce message par une note positive : notre immunité naturelle reste le meilleur rempart contre les infections virales !

Il est troublant qu’aucune information médicale ne fasse écho à cette évidence. D’autant que les apports en vitamine D et en zinc, associés à une bonne hygiène alimentaire et une activité physique régulière, sont redoutables contre les virus.

Depuis toujours, les affections virales saisonnières disparaissent en été. Le soleil, la baisse de charge de stress, une alimentation meilleure et une augmentation de notre activité physique y sont certainement pour quelque chose !

La Covid-19 et ses multiples variants n’échapperont pas à cette règle.

Il est donc indispensable de profiter de cet été pour nous préparer à affronter le prochain hiver.

Bon été à vous et bon retour a l’automne !

source: Antoine Demonceaux, Nouvelle page santé.

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