poeme: première année 1999

Un cierge j’ai allumé pour t’envoyer ma pensée

Tu m’as permise d’épancher la peine de mon âme esseulée

Je revis en pensée, nos moments prévilégiés a jamais immortalisés

Une paix longtemps convoitée m’envahi en entier

En cette soirée de Janvier (1999)

J’entrevois dans toute cette réalité

Que jamais je n’oublierai ton sourire et ta naiveté du passé

Je me permets de penser combien j’aimerais te retrouver

Pourvoir te toucher, te parler

Cela aurait-il pu éviter ton départ précépité

Je crois que tu as retrouvé une paix bien méritée

Nul besoin de me faire miroiter

Que nous aurions ce petit bébé

Car je vis maintenant dans la réalité

En cette première année ou tu nous as quitté

J’ai envie de m’endeuiller, de m’enfermer

Pourrons-nous nous retrouver,

Je m’en remet a la sainte divinité

J’aurais envie de quitter l’humanité

Mais j’ai réalisé que je ne peux blesser

Ceux qui reste accroché a mon amitié

Ma santé s’est détérioré, mon corps souffre en entier

Comme si j’avait perdu une moitié

Je reste accrochée a l’éventualité

Que Dieu viens nous chercher

Lorsque notre heure a sonnée

J’ai rêvé que tu viendrais me chercher

Et que nous pourrions nous envoler

Vers ce paradis réservé

La clef d’un songe passé, me permet de penser

Que nous avons en main notre propre destinée

Je vous aime mes filles adorées

Mais sachez que jamais je ne vous oublierai

Ou que je serai, je continuerai a prier

Et lorsque vous me demanderai de vous aider

Je veux que vous sachiez que mes anges illuminés

Peuvent nous aider a appaiser

La perte d’un être tant aimé

artiste poete: kelly joly tous droits réservés 1999-2016

suite: poeme: une année d’éternité 1999

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